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7 ARTISTES

Diane bellier

cheval au galop, art vidéo 3:00

Imaginez une histoire, une scène de film, un rêve.  Entre l’imaginaire et la réalité, j’invite celui qui croisera une des mes toiles aux voyages de son esprit.

Sur la toile blanche, la couleur s’impose pour laisser traîner les traits noirs des cœurs. Je suis devant la vie, celle qui file et qui défile. lundi 24 juin, lever du soleil 05h49, 21h58 coucher du soleil. J’accepte l’authenticité, le vrai. 


Ma peinture, mon échappatoire, personne n’a son mot à dire, je suis libre. Les pinceaux s’emmêlent et l’invisible devient visible. Fuir la connexion, je retrouve la matière. Lors du travail video, le rythme s’impose et la pellicule est en mouvement. 


Les chevaux, ceux qui nous accompagnent depuis des décennies, et l’art en mouvement, c’est le thème que j’ai choisi, deux formes d’art, deux formes de mouvement entre liberté et captivité. 


La musique de ma vidéo est interprétée par mon amie d’enfance du Sud de la France, Perrine Virgile, compositrice de film. Partagées par des chemins différents et  des grandes distances, nous nous retrouvons cette fois pour la réalisation d’un projet qui nous anime. 

Grâce à environ 70 œuvres de l’Antiquité au début du 20e siècle, cette nouvelle exposition présente le défi que la représentation du mouvement a posé aux artistes et les réponses qu’ils y ont apportées. Marcher, courir, suspendre son élan, mais aussi exprimer les « mouvements de l’âme » comme l’effroi : quelles conventions régissent la représentation des gestes et des attitudes ? 


Voulant faire oeuvre de scientifique, Muybridge met la technique de la chronophotographie, utilisant des poses successives, au service de l’observation du galop des chevaux. Décomposant ainsi le mouvement de la course de l’animal, ses planches, montrent ce que l'oeil humain ne peut pas voir.

Elles contribuèrent au débat sur le surréalisme.

Diplômée en communication Image & Media à l’EFAP, elle a réalisé son stage de fin d’étude à l’Académie du Spectacle Équestre à Versailles fondée par Bartabas.
Diane vit et travaille à Paris, elle met aussi à profit sa créativité pour différents projets, notamment lors de son travail de réalisation et de montage vidéo pour les expositions et l’univers du célèbre  photographe Maurice Renoma actuellement présent à l’exposition scénographique « RQR » à la fabrica de Arte, QG de l’art contemporain à Cuba. 

Benhamou Geoffrey, né en 1993


 • 2017 : Diplôme de l’École des Beaux-Arts de Versailles   Épreuve Exposition collective, Galerie des Beaux-Arts de Versailles
 • 2016 : Résidence, ArtollKunstlabor, Kleve, Allemagne  The place where time wins, exposition collective, HD Gallerie, Bruxelles, Belgique Francois patoue, Guy Yanai, Olivier Kosta-Théfaine, Ricardo Passaporte
  Prémices, exposition collective, Galerie des Beaux-Arts de Versailles

L’exposition « L’art est une fête ! » présente au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris une rétrospective de l’œuvre de Karel Appel. Des tableaux et sculptures représentatifs des principes du groupe CoBrA, entre primitivisme et figuration expressionniste.
La Chute du cheval dans l’espace silencieux , est une œuvre ultime épurée, sombre, évoquant l’angoisse de l’homme dans l’univers. Même les monumentales installations de Karel Appel inspirées du monde du théâtre et du carnaval sont d’une grande mélancolie. On est passé de l’émotion directe à la réflexion, sans que l’artiste ne perde sa jouissance à peindre.

Le point de départ se fait à partir d’une photo prise  d’objets simples, ou bien d’éléments peu originaux dans un quotidien inhabituel. Elles vont me permettre d’intégrer mes traits, mes couleurs, mes formes, ma fiction. 
J’intègre cette fiction grâce à mon ordinateur, mon téléphone où ma tablette qui me servent de pinceaux.
Au 1er plan, l’envie de faire des traits, des lignes, des contrastes avec des masses de couleurs, La réalisation s’exprime de plusieurs manières, parfois très précise, de temps en temps plus abstraite, mais sans jamais aucune retenue. Par le biais de la peinture, j’essaye de retranscrire des moments vécus, concrets, où même fictifs qui me tiennent à coeur. 
Mon travail se situe à mi-chemin entre autobiographie et création pure. La photo a une place importante dans le processus, mais, relayée au second plan, elle n’est pas le résultat final. Elle est là pour me permettre d’avoir quelque chose à travailler, à me réapproprier.

 

Eadweard Muybridge

Cheval au galop, saut d'obstacle

Les corps en mouvement

Musée du Louvre

geoffrey benhamou

appel pie, toile numérique imprimée sur toile

Radicalement opposé à ce que j’ai l’habitude de produire, ce collage photographique est un premier essai. 
Inspiré par L’Incation de Paul Le Sérusier, j’ai essayé de retranscrire mon paysage mystique à travers un regard sur certains aspects de la société contemporaine et le rapport que quelques individus entretiennent avec la nature. 

Face à la pensée positiviste et devant un monde en pleine mutation, les artistes, touchés un idéalisme, s’interroge sur leurs origines, leur culture religieuse, le rapport de l’homme à la nature. Cette dernière devient le lieu du questionnement intérieur, conduisant vers l’expérience mystique.

Cette exposition se propose d’analyser comment le mysticisme a influencé la peinture de paysage à l’aube du XXe siècle jusqu’à favoriser la naissance de l’abstraction.


Le Sérusier imagine ce bois sacré au coeur d’une forêt profonde, dont émanent l’émotion contenue et le mystère vient de l’imagination de Paul Le Sérusier lors d’une retraite imprégnée de mythologie et de légende bretonne avec son ami Paul Gauguin

Jean-Baptiste Cazes est né en 1992 de deux parents architectes. 


Sa passion pour la photographie se révèle à travers l’oeuvre de Robert Doisneau puis se concrétise à travers des études de cinéma qu’il fait à l’Institut Internationale de l’Image et du Son (3IS).
Aujourd’hui, il se consacre principalement à sa volonté de carrière dans le cinéma, mais continue de temps à autre, à faire ses longues marches pour recueillir des instants de vie à travers son objectif. 

Karel Appel

La chute du cheval dans l'espace silencieux

karel appel, l'art est une fête

musée d'art moderne de la ville de paris

Geoffrey Benhamou
Jean-Baptiste Cazes
Garance Dupont

jean-baptiste cazes

l'aveugle, photographie

Née, le 11 juin 1981, à Paris, Maïmoun découvre le monde de l’art en étant l’assistante d’un artiste peintre pendant plusieurs années.

À 20 ans, elle commence alors à peindre sur bois flotté de différents formats, puis sa soif d’apprendre l’entraine vers différentes formations :  
 • 2011-2014 : CAP Ébénisterie, Ecole Boule, Paris 11ème .

• 2014-2015 : Aménagement d’espace scénographique événementiel, niveau I & II, Ecole professionnelle supérieur d’arts graphiques et d’architecture, Ivry-sur-Seine.

• 2015-2017 : Expression plastique, niveau I & II, Ecole Renaud, Paris 4ème  

• 2016 : Techniques de l’Art Mural, réalisation de fresques, niveau II, Ecole Supérieur des Arts Appliqués, Paris 3ème  

• 2016-2017 : Technique du verre : vitrailliste, réalisation de vitraux, Atelier Artisan, Marie-Pierre Buaziz, Paris 4ème

 • juin 2017 : Exposition collective, « Émigration »

• 19 au 25 juin, Galerie Artes, Paris 5ème 
Actuellement, Maïmoun travaille pour le photographe et styliste Maurice Renoma .

L’art contemporain africain est à l’honneur à la Fondation Louis-Vuitton.

« Les Initiés » présente pour la première fois à Paris une sélection d’œuvres de 15 artistes emblématiques de la collection d’art contemporain du Suisse Jean Pigozzi.

En 1989, l’homme d’affaires fait appel à André Magnin pour constituer sa collection d’œuvres contemporaines d’artistes vivant et travaillant en Afrique subsaharienne.

 

Cette sélection inédite en France comprend des œuvres de Frédéric Bruly Bouabré, du sculpteur béninois Romuald Hazoumé, du photographe malien Seydou Keïta, du peintre congolais Chéri Samba ou encore de l’artiste franco-camerounais Barthélémy Toguo.

Romuald Hazoumé , né en 1962 à Porto-Novo au Bénin, est un plasticien connu pour ses séries de « Masques Bidons » en utilisant des matières recyclées. Il commence cette phase de son travail dans les années 80 après avoir été l’assistant de l’artiste français Jacques-Yves Bruel. Ces masques, fais de bidons d’essence, rappellent ceux utilisés dans la culture africaine traditionnelle. Il renvoie à l’Ouest ce qui leur appartient, c’est-à-dire les déchets de la société de consommation qui nous envahit chaque jour. 
Le travail de Romuald Hazoumé me parle beaucoup. Originaire d’afrique, tout comme lui, je porte en moi et dans mes créations cette culture.
J’ai choisi de réinterpréter en peinture. la série de portrait des « Masques Bidons ». Leur visage, couvert de bandes de plâtres, scande les blessures de l’Afrique que l’on vise à masquer. L’envie d’agir, de faire évoluer les choses est symbolisée par leurs bras levés, énergiques. Mes portraits sont accompagnés de tongs, les nombreux pas vers l’éxil, et d’une valise dont les piceaux qui en surgisse nous menacent.

Le corps interroge toutes les civilisations et toutes les époques, par différents aspects et différentes manières, certes, mais toujours avec la même intensité. Tour à tour sujet et objet, il appelle l’observation, le questionnement et la réflexion sans jamais lasser. Car le corps est ce que nous avons de plus proche et de plus lointain, de plus palpable et de plus insaisissable, de plus connu et de plus ignoré. C’est pourquoi il ne me semble ni vain, ni dérisoire de me pencher sur la question du corps, de son image, de son langage, de ses fonctions et représentations.
J’ai toujours porté un grand intérêt au dessin d’observation du corps. J’aime dessiner ce corps en effort et en mouvement. Faire ressortir son énergie pas tant par sa « pause » mais à l’aide de la technique.   
 
L’exposition qui m’a inspiré pour cette collection est celle du « Corps en Mouvement » au Louvres. La danse y est célébrée. On y découvre «le défi que la représentation du mouvement a posé aux artistes et les réponses qu’ils y ont apportées, à partir des différents matériaux et techniques à leur disposition». Revenant aux sources de l’antiquité puis vers Degas et Rodin, elle y décompose et saisi les mouvements du corps et faire ressortir cette énergie si propre a lui. On peut observer dans cette exposition la multitude de techniques et médiums a notre disposition pour dompter ce corps dans ses gestes et attitudes mais on y perçois aussi « les mouvements de l’âme ». 

Grâce à environ 70 oeuvres de l’Antiquité au début du 20e siècle, cette nouvelle exposition présente le défi que la représentation du mouvement a posé aux artistes et les réponses qu’ils y ont apportées. Marcher, courir, suspendre son élan, mais aussi exprimer les « mouvements de l’âme» comme l’effroi : quelles conventions régissent la représentation des gestes et des attitudes ? 
La série des neufs Mouvements de danse fait partie des dernières recherches de Rodin. Passionné par le corps féminin et par le mouvement, le sculpteur se montrait très intéressé par la danse quand elle n’était pas académique telle celles des danseuses thaïlandaises, ou les recherches de Loïe Fuller et d’Isadora Duncan.

Diplômée de l’école Olivier de Serre à Paris, j’ai travaillé pour la réalisation de décors notamment pour le Grand Rex et plus récemment pour les vitrines de boutiques de luxe comme Hermès ou Lanvin. 
Mon travail est assez divers, j’aime travailler avec différentes matières, sous plusieurs formes et aborder différents sujets.

De mes 15 ans à mes 19 ans j’ai étudié à l’Ecole des Beaux-Arts en Espagne, puis j’ai fais 4 ans de Design Graphique, toujours en Espagne, mon pays d’origine. 
J’ai travaillé comme graphiste en freelance en Espagne, mais mon désir de nouveaux horizons s’est manifesté. En 2014, après avoir passé quelques mois dans une agence de publicité à Paris j’intègre l’équipe de création et de scénographie du photographe Maurice Renoma. 

Face à la pensée positiviste, donnant la primeur à l’expérimentation, et devant un monde en pleine mutation, les artistes, touchés par une sorte d’idéalisme, en viennent à s’interroger sur leurs origines, leur culture religieuse, le rapport de l’homme à la nature. Cette dernière devient le lieu du questionnement intérieur, conduisant vers l’expérience mystique. Répandu à la fin du XIXe siècle, le mysticisme est un phénomène lié à toutes les religions et les croyances, permettant d’approcher les mystères de l’existence dans l’unité avec la nature. Cette exposition se propose d’analyser comment le mysticisme a influencé la peinture de paysage à l’aube du XXe siècle jusqu’à favoriser la naissance de l’abstraction.
Les sections de l’exposition dévoilent des oeuvres d’artistes de cultures variées interrogeant la transcendance et l’immanence de la nature.

Je me suis inspirée du travail de Claude Monet, Les Nymphéas. J’imagine dans cette oeuvre, les dernier moments de la vie de l’artiste dont nous apprécions son calme. Une quiétude beaucoup plus perceptible que dans ses oeuvres passées. 
Claude Monet était-il à cette pèriode, en harmonie avec lui même, se laissant emporter par le souffle de la vie ? Mais surtout, le plus primordial, cette série de peintures qui a accompagné le peintre jusqu’à son dernier souffle, traduit cette sensation de paix qu’il a avec la mort. 
Mon travail veut montrer la conciliation entre la vie , le repos éternel et la vision d’un après la fin.

Je suis happé par la fulgurance et la foudre du trait, et plein d’admiration devant la sobre radicalité de la composition. Sobriété également, quant à la décision de l’artiste de ne se concentrer que d’or, de noir et de blancs qui grisent. Pour moi, ce tableau est marqué par la griffe d’une mélancolie lugubre. Celle-ci est incarnée pas ces stries d’un noir funestre, et est exacerbée par son contraste avec l’embrasement éclatant de cet or volupteux. 
 En somme, je suppose qu’il s’agit d’avantage d’un « paysage intèrieur » que d’une figuration consciente d’un lieu extèrieur. J’aime ce flottement entre abstraction et figuration. 
En peignant mon tableau, j’ai voulu exprimer une atmosphère analogue, couper une tranche de spleen qui est le mien. À sa contemplation, j’ai cependant en tête le spleen LXXVIII de Baudelaire. comme Lexington, il se donne à voir comme une sorte de « paysage intèrieur». 

D’une ampleur inédite, cette première rétrospective complète de l’œuvre de l’artiste américain Cy Twombly, retrace l’ensemble de sa carrière à travers un parcours de 140 peintures, sculptures, dessins et photographies. 
De ses premiers travaux du début des années 1950, marqués par le graffiti et l’écriture, à ses compositions des années 1960, de sa réponse à l’art minimal et conceptuel des années 1970 à ses dernières peintures, cette rétrospective souligne l’importance des séries dans lesquels Cy Twombly réinvente la peinture d’Histoire. 
Salué comme l’un des plus importants peintres de la seconde moitié du 20e siècle, Twombly « syncrétise » l’héritage de l’expressionisme abstrait américain et les origines de la culture méditerranéenne.

Paul Saint Olive né le 5 février 1993 a étudié une année à Penninghen, puis trois ans à l’Ecole des Beaux-Arts de Tours et est diplômé depuis une mois (DNAP).

Il pratique aussi bien la peinture - huile et acrylique principalement mais également gouache, aquarelle, encre, pastelles, ... - que le dessin.

Un grand nombre « d’artistes pilliers » l’inspire dans son travail de création : Chaïm Soutine, Pierre Bonnard, Vincent Van Gogh, Henri de Toulouse-Lautrec, Claude Monet, Paul Cézanne,

Amedeo Modigliani, Henri Matisse, Nicolas de Staël, Jean Dubuffet, Pablo Picasso, Georges Braque, Jackson Pollock, Cy Twombly, Jean-Michel Basquiat, et bien d’autres. 

paul le serusier

l'incantation

au dela des etoiles

musée d'orsay

maïmoun cissokho

Circulez, il n'y a rien à voir, peinture acrylique et plâtre sur toile

garance dupont

Circulez, il n'y a rien à voir, peinture acrylique et plâtre sur toile

paul le serusier

l'incantation

au dela des etoiles

musée d'orsay

paul le serusier

l'incantation

au dela des etoiles

musée d'orsay

alexandra rubio

Circulez, il n'y a rien à voir, peinture acrylique et plâtre sur toile

paul le serusier

l'incantation

au dela des etoiles

musée d'orsay

paul saint olive

Circulez, il n'y a rien à voir, peinture acrylique et plâtre sur toile

paul le serusier

l'incantation

au dela des etoiles

musée d'orsay

Maïmoun Cissokho
Alexandra Rubio
Paul Saint Olive
Diane Bellier
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